Bénin/Limogé de son poste à l’INF: Minou Chrys-Tayl demande à Patrice Talon de lancer une enquête
Sur sa page Facebook, dame Minou décrit avec amertume les circonstances de son limogeage
RÉCIT DE MON LICENCIEMENT ABUSIF ET IRRÉGULIER
🟣 VIOLENCES MORALES ET PSYCHOLOGIQUES ET PERVERSITÉ
La Secrétaire Exécutive Flore Djinou a choisi délibérément le 1er août, jour symbolique de la fête nationale, un moment de célébration pour la nation entière, pour m’envoyer un message qui , préparait une attaque violente et calculée.
Le « profite du défilé » ajouté en fin de message relève d’une perversité évidente. Cette phrase masque une intention destructrice, visant à créer, pour mieux porter le coup le lendemain.
En procédant ainsi, Flore Djinou a joué sur ma vulnérabilité, sachant que j’étais en convalescence et déjà fragilisée par mon état de santé et épuisée, car j’ai bossé TOUTE SEULE pendant tout le mois de juillet et sans personnel, il faut le préciser, et j’avais envoyé tous les TdR (qui n’ont jamais été validés) et même travaillé le week-end sur l’émission qui concerne les violences sexuelles et envoyé dans le groupe du codir ( synopsis ) TOUTE SEULE.
Mon collaborateur était parti en vacances avant la date de départ et je l’avais couvert, mais il était aussi parti en étant au bord de la dépression sans faire ses tâches car la SE avait effacé le Pôle communication des missions PAEG et nous n’étions informés de rien. Il y a même un journaliste qui avait appelé et c’est lui qui a informé mon collaborateur de la mission (mon collaborateur a pété un plomb. IL EST À L’INF ET PEUT TÉMOIGNER). J’avais et les siens et les miens.
Mais mon collaborateur était revenue et je me préparait a aller en vacances après 7 ANS DE TRAVAIL ET D’UNE CAMPAGNE POUR AVOIR LE BOULOT- CELA ALLAIT ÊTRE MES PREMIERES VACANCES EN 7 ANS.
Le moment choisi pour cette action n’était pas innocent : elle a profité d’un jour férié, où l’attention nationale était tournée vers la célébration, pour mieux dissimuler son acte.
Cette stratégie visait à me déstabiliser psychologiquement, en amplifiant l’impact de l’annonce brutale le lendemain. Ce message, envoyé la veille, montre que l’objectif était de me surprendre, de me prendre au dépourvu et de maximiser la souffrance psychologique.
RÉSULTAT : J’AI FAILLI ME SUICIDER !
🟣 VIOLENCES INSTITUTIONNELLES
L’acte de licenciement, exécuté sans aucun préavis, sans blâme ni avertissement préalable, constitue une grave violation de mes droits en tant qu’employée. La procédure n’a respecté aucune règle de gestion administrative ou des ressources humaines.
Ce licenciement a eu lieu en présence d’un huissier, une méthode non seulement humiliante, mais également conçue pour m’intimider. L’usage d’un huissier est une démonstration claire d’un abus de pouvoir, visant à m’isoler, à m’empêcher de me défendre, et à m’exposer publiquement devant mes collègues et à me rabaisser.
Cette situation révèle une série de violences institutionnelles, psychologiques et morales, amplifiées par un abus de pouvoir flagrant. Le choix du moment, la manipulation des procédures et l’absence totale de respect pour mon état de santé démontrent une volonté délibérée de me nuire, de m’humilier et de me briser professionnellement. Surtout en mettant une tâche sur mon parcours professionnel, C’EST DE LA PURE MÉCHANCETÉ GRATUITE.
Ce licenciement, exécuté avec une précision calculée, dans le cadre d’une institution censée défendre les droits des femmes, est la preuve que cette Secrétaire Exécutive, loin d’incarner les valeurs de justice et de respect, a exploité son pouvoir pour infliger une violence perverse à une militante intègre, de renom, travailleuse comme vous êtes en train de le voir.
IL Y AVAIT UN PROBLÈME AVEC MA PERSONNE, PAS AVEC MON TRAVAIL.
Ceci met en lumière les violences morales, psychologiques et institutionnelles, ainsi que l’abus de pouvoir et la perversité des actions perpétrées contre moi par la SE.
DE LA PERVERSITÉ INSTITUTIONNELLE AU SEIN D’UNE INSTITUTION QUI DOIT PROTÉGER LES DROITS DES FEMMES.
Elle déteste les femmes qui brillent et lui rappellent ce qu’elle ne sera jamais.
Minou Chrys-Tayl ( MONSIEUR LE PRÉSIDENT LANCEZ UNE ENQUÊTE !)