Le Togo participe à l’Assemblée annuelle du Fonds monétaire international (FMI) avec la présence effective de Dr Sandra Ablamba Johnson, gouverneure du de la Banque mondiale pour le togo, et également secrétaire générale de la présidence de la République Togolaise Essowè Barcola, ministre de l’économie et des finances.
Les travaux des assemblées annuelles du FMI ont été formellement ouverts le 21 octobre 2024.
A cette rencontre, les représentants du Togo, vont saisir l’opportunité pour discuter avec les principales institutions financières mondiales des sujets importants ayant traits au développement du pays et du mieux être des populations.
Les confidences recueillies au sein de la délégation du ministère de l’économie et des finances renseignent que, les discussions vont permettre de faire un bilan des engagements en cours et d’explorer de nouvelles pistes de coopération.
Les participants aux assemblées annuelles mènent les débats sur le nouveau programme de 42 mois signé avec le FMI, soutenu par la Facilité Élargie de Crédit (FEC), pour un montant de 390 millions de dollars.
Ce programme vise à soutenir la mise en œuvre des réformes économiques engagées par le Togo, dans un contexte mondial marqué par des incertitudes économiques et financières.
A Washington, la partie togolaise a eu une rencontre avec Kenji Okamura, Directeur général adjoint du FMI.
Avec M. Kenji, les discussions portaient sur les conclusions de la dernière mission du FMI au Togo, les réformes en cours et les perspectives économiques du Togo.
Occasion pour les représentants du Togo, Mme Sandra A. Johnson et Barcola Essowè de souligner les efforts du gouvernement togolais pour consolider la stabilité macroéconomique et renforcer la résilience de l’économie face aux chocs externes.
Le Cadre de partenariat 2025-2029 avec la Banque mondiale fait partie du point de discussion aux travaux des assemblées annuelles. Ce partenariat, faut-il le préciser, vise à aligner les projets de la Banque mondiale avec les priorités de développement du Togo pour les cinq prochaines années. Il met l’accent sur le financement des infrastructures, le renforcement du capital humain, et la transformation numérique, tout en intégrant des mesures pour renforcer l’inclusion sociale.