C’est un mal pernicieux, difficilement détectable précosement mais un tueur silencieux. L’insuffisance rénale décime aujourd’hui des vies sans que cela n’emeuve. Et pourtant ce sont des centaines voire des milliers de bras valides Béninois qui en souffrent dans le plus grand silence. Afin d’en savoir plus sur l’insuffisance rénale, une équipe de la redaction du groupe de presse La Nouvelle Marche a rencontré le docteur Valentin Agon pour une interview exclusive. Suivez plutôt.
La Nouvelle Marche : Bonjour Docteur Valentin Agon. Vous n’êtes plus à présenter au Bénin, mais notre media au-delà des frontières béninoises, donc un petit mot sur vous-même avant qu’on ne commence cette interview.
Dr Valentin AGON : Je suis Docteur Valentin Achidi AGON, je suis Béninois, mais je suis avant tout panafricaniste, je suis beaucoup plus africain que Béninois. Mon cœur bat pour l’Afrique et pour le Bénin. Donc c’est ça mon idéologie, parce que je pense que le continent africain c’est un pays, c’est une nation. Il faut que cette nation soit unie comme les autres, et que l’on puisse utiliser nos puissances, nos potentiels pour notre développement.
Donc je suis Béninois, Africain, Panafricain, Panafricaniste. J’ai beaucoup étudié. J’ai passé mon temps à étudier, j’ai étudié jusqu’à 50 ans. Donc j’ai commencé les études depuis 1974, c’est en 2024 que j’ai arrêté, ça fait 50 ans de vie d’études.
J’ai fait 5 maîtrises à l’université, j’ai fait deux doctorats. J’ai fait un doctorat en développement régional, option industrie à l’université du Québec à Rimouski, au Canada. Un doctorat en naturopathie, traitement naturel à Montréal au Canada. Et j’ai fini cette année par un diplôme de 2ème cycle en pharmacie à l’université Laval, et cette année j’ai fini. Mais ce n’est pas pharmacie pour aller vendre des produits. Ce n’est pas pharmacie comme tout le monde, c’est pharmacie pour le développement des médicaments, de l’idée à la molécule, de la molécule au médicament. Donc ça c’est pour renforcer mes compétences à la matière, pour mieux produire mes médicaments. En tant qu’innovateur dans le domaine pharmaceutique, j’avais besoin de compétences dans ce domaine, et ajouter aux qualifications de mes enfants et de mes collaborateurs pour qu’ils puissent avancer et aller très vite.
Je suis également auteur de plusieurs livres. J’ai écrit « Pourquoi l’Afrique reste en retard » en 2008 ; « La Rupture » en 2010, quand on célébrait les 50 ans d’indépendance du Bénin. J’ai également écrit « La Réflexion sur le Développement ». J’ai développé quatre articles sur l’industrie, sur la résilience, sur le développement, ça a été préfacé par plusieurs Béninois, même le ministre de Sousa en son temps, le président Aguessy et Jérôme Carlos.
Aujourd’hui j’ai créé la société API-Bénin, qui est une industrie pharmaceutique qui fabrique des médicaments, et des produits génériques. J’ai aussi créé une entreprise au Canada, précisément à Laval, au Canada, pour la recherche, toujours pharmaceutique.
Je suis expert de l’ONU, dans 23 pays, dans le programme «« CATI ». Je travaille dans 23 pays en partageant mon expérience d’innovateur avec les autres pays, surtout les pays africains.
Aujourd’hui nous voudrions qu’on parle d’un phénomène qui fait beaucoup de dégâts. Il s’agit de l’insuffisance rénale, chronique ou aiguë selon le cas. Qu’est-ce que vous pouvez nous dire sur ses manifestations ?
D’abord je vous félicite d’avoir choisi cet angle, parce que la vie est déterminée par les reins. On ne sent même pas qu’on a un rein, mais c’est quand on est malade qu’on sait qu’il y a quelque chose. Et c’est souvent irréversible. On n’arrive pas à guérir, c’est vers la mort. C’est une pièce qu’on peut changer aujourd’hui, parce que les gens changent leurs reins, mais c’est quand même capital de penser à ça, et je vous félicite de penser à ça. La population souffre de quelque chose qui est silencieux, personne ne se rend compte. Et c’est quand ça explose qu’on se retrouve devant le fait accompli.
Alors quand on parle de l’insuffisance rénale, on parle des reins. Les reins sont les deux filtres que nous avons dans notre corps. Tout ce qui rentre dans notre bouche passe par les reins. Et quand il y a insuffisance rénale, je vais le dire de deux façons. Il y a les manifestations, et puis il y a le constat technique.
Comme manifestations, ça commence doucement, silencieusement. On ne se rend pas compte que les reins rencontrent un problème. En effet, quand les reins sont malades, l’homme les sent. Mais pas tout de suite, ça commence tout doucement. C’est quand c’est calé totalement qu’on se rend compte qu’il y a un problème. Le plus souvent, la personne peut avoir de la température, des problèmes de l’œdème, c’est déjà grave.
Mais tout dépend de notre comportement de vie, de notre alimentation. Le gros problème est que les déchets qui sont dans le sang, qui doivent sortir, qui ne sont plus filtrés par les reins, et qui pourrissent le sang, créent tous les problèmes. On ne peut pas lister toutes les manifestations.
Ça dépend d’un corps à un autre. Parce que ces déchets dans le corps, c’est comme une maison remplie de déchets, et chacun peut sentir de sa façon, de telle ou telle façon, ces déchets dans la maison. Dans la maison, dans notre corps, quand ça devient une poubelle, il y a tellement de manifestations.
Le hoquet, quand c’est déjà à l’extrême. Le hoquet, c’est une manifestation qui montre que les reins sont bloqués. Je ne parle pas du hoquet rare, qui survient quand on n’a pas mangé ou quand on n’a pas bu. C’est la contraction brusque du diaphragme, cette enveloppe, cette membrane qui sépare toute la partie thoracique de la l’abdomen. Et quand ça se contracte brusquement, ça veut dire qu’il y a un problème au niveau des reins. Et ça perdue, on ne se parle pas du hoquet d’une ou de 2 minutes mais ça perdue, ça devient un gros problème pour la personne, pour le patient.
Il faut dire que dans tout ça, la personne n’urine plus bien, les reins n’arrivent plus à filtrer. Parfois les reins filtrent, mais bloquent les déchets, et ces derniers ne passent plus dans l’urine. L’urine est sans déchets.
C’est terrible cette maladie. Et ça peut être chronique ou aiguë. La différence entre chronique, c’est dans le temps et aiguë, c’est bref.
Et quelles peuvent être les causes liées à ce mal ?
Comme cause que vous me demandez, je serai large. Mais en attendant de parler des causes, il y a des paramètres biologiques. Le taux de créatinine et d’urée. C’est des substances qu’on dose dans le sang. Normalement, le taux de créatinine c’est entre 6 et 14. Mais quand ça atteint déjà 13-14, ça veut dire que les reins ne fonctionnent plus bien. Et quand ça dépasse à 14, ça veut dire qu’on est déjà sur un terrain grave. Donc, quand on peut régulièrement doser ces paramètres, on peut apprécier le fonctionnement de ces reins.
Qu’est-ce qui cause le problème ? C’est quoi les facteurs, les vecteurs ou les causes fondamentales du problème des reins ? C’est notre bouche. C’est ce que nous mangeons. C’est ce qui passe dans notre bouche. Je vais séparer les causes en plusieurs catégories. Il y a les causes alimentaires et les causes médicamenteuses. Souvent c’est ça. Et en dehors de ça, il y a des pathologies qui entraînent des problèmes de reins comme le diabète, l’hypertension. Mais le diabète et l’hypertension, ce sont des maladies dégénératives. C’est le corps qui se dégénère, les organes se dégénèrent.
Il y a d’autres problèmes pathologiques que je n’ai pas le temps de souligner. Mais restons d’abord au niveau alimentaire. L’alimentation, ce que nous mangeons et qui définit notre santé.
Il y a quelque chose que tout le monde ignore. Dans ce que nous mangeons, il y a des glucides, des lipides et des protéines. Mais il y a des protéines d’une catégorie qu’on appelle animale. La viande est bonne et douce et tout le monde presque l’aime. Elle est très importante et très utile pour la reconstruction du corps.
A partir d’une quantité, la viande est pire qu’un poison car elle est propre, du moment où il n’y a pas de déchets dedans. Quand vous prenez un kilo de viande, il n’y a même pas un gramme de déchets. Parce que la viande, c’est la chair de l’animal après toutes les transformations.
Donc c’est ce qui est bon, ce qui est pur, ce qui est déjà bon, qui s’est ajouté au corps de l’animal. Et quand on mange l’animal, c’est-à-dire qu’on a mangé quelque chose de pur, totalement à 100% sans déchets. Et puisque nous mangeons la viande, et si vous prenez un kilo de viande, un kilo de viande se retrouve dans votre sang.
Je répète bien, si vous prenez un kilo de viande, vous avez un kilo de viande dans votre sang. Et ce kilo de viande n’est plus sous forme de fibres qu’on a mangées, mais la viande devient acide aminé, et ça devient acide urique.
C’est sous forme d’acide urique que les reins vont filtrer. Mais quand ça devient important, ça bouche les filtres des reins. Et ça crée des lithiases, ou bien ça fait un tapis de déchets qui empêche que les reins filtrent.
C’est comme si vous aviez du tamis à la maison, et vous filtrez quelque chose, et vous mettez beaucoup de déchets dedans. Ça ne filtrera plus. La viande est le premier ennemi des hommes.
Elle tue tellement de personnes par jour qu’on n’imagine pas. Il y a des gens qui ont leur plat composé que de viande. C’est comme ça qu’on mange, par exemple, au Burkina Faso, et il n’y a pas de céréales qui accompagnent la viande.
Quelqu’un peut manger deux poulets, ou bien trois poulets, ou encore bien un kilo de mouton, et il est content, il a mangé. Et surtout ceux qui ont de l’argent, ils se gavent de la viande. Non, ils meurent. C’est pourquoi on dit, on creuse sa tombe par ses dents. Notre durée de vie sur la terre dépend de notre bouche, de ce que nous mangeons. Donc, la viande est le premier ennemi. On dit chair rouge, chair blanche, viande, c’est viande. Tout le monde a besoin de viande, mais en petite quantité, un morceau, deux morceaux, c’est déjà bon.
Il y a des gens qui mangent 25 œufs ou un plateau de 30 œufs ; non, ils se tuent car l’œuf est encore meilleur que la viande en apport protéinique. Et donc, plus vous mangez des œufs, en quantité, plus vous tuez vos reins.
J’aimerais souligner un point important. C’est ce que l’on appelle les viscères et les cervelles. Le cerveau des animaux, le tube digestif, le foie, les reins, tout ce qui est dans le ventre forme une boue dans le sang et devient une grande quantité d’acide urique et les reins sont incapables de filtrer. L’excès d’acide urique crée des plaques, des lamelles, des petits cristaux dans votre sang. Et c’est ça qui forme, des lithiases au niveau des reins, en bref des pierres que l’on appelle des calculs.
Parce que tout va passer par les reins qui n’arrivent plus à filtrer. Ça reste là, ça s’accumule et ça devient une pierre. Et de grosses pierres dans les reins. Et vous souffrez de ce qu’on appelle de la colique néphrétique.
La colique commence et vous sentez une douleur au bas du dos. Une douleur qui s’irradie, qui rayonne vers tout le dos et surtout vers l’abdomen. Mais c’est simplement votre rein qui crie.
Par contre, quand vous mangez des légumes, ça ne peut pas tuer les reins. C’est des petites molécules qui passent rapidement et puis c’est bon. En dehors des aliments, il y a le sucre et le sel.
Quand vous mangez des choses salées, vous mettez votre cœur en difficulté. Parce que le sel, c’est pour donner du goût, mais il a une autre fonction. Le sel supprime l’élasticité des vaisseaux sanguins et de la chair du cœur.
Je parlais du sel, de la graisse et du sucre. Et donc le sel coupe l’élasticité. Empêche que le cœur et les vaisseaux soient élastiques. Pour bien faire son job de contraction, de pompe aspirante et refoulante.
C’est pourquoi on sent des douleurs et puis finalement ça va vous tuer. Donc, en dehors de cet effet néfaste du sel sur le cœur et sur toute la circulation sanguine, le sel se tapit aussi au niveau des reins.
Les reins filtrent vraiment le sel. Mais comme c’est une quantité importante, ça reste et ça va former des cailloux. C’est ça qu’on appelle lithiase. Ça va s’ajouter à tous les autres déchets pour former des cailloux. Donc le sel seul est déjà un ennemi des reins.
En plus du sel, il y a aussi le sucre qui est doux, tout le monde aime le sucre. Attention, le sucre est un ennemi dans la maison aussi. Tout comme le sel, le sucre peut bloquer les reins. Maintenant, en dehors de ces substances alimentaires, j’aborde les substances médicamenteuses.
Les médicaments sont de deux catégories. Il y a les petites molécules et il y a les grosses molécules. Cela dépend de la quantité qu’on ingère ou qu’on injecte. Parce que tout ce qui circule dans le corps passe par les reins. Les reins évacuent dehors tous les déchets, y compris les déchets issus des médicaments.
Quand on prend un médicament, il faudra qu’on le prenne pour les reins. Les reins seront impactés par le médicament que l’on prend. C’est pourquoi il y a des données posologiques pour établir la posologie d’un médicament.
Mais on étudie ce médicament d’abord. En préclinique, en phase 1, en phase 2 et en phase 3. Et même en phase 4, qui est le terrain, on récolte toutes ces données et on définit sa posologie surtout en phase 1 et 2. On étudie ce qu’on appelle la demi-vie du médicament. Quand le médicament est à l’intérieur, quel temps ça fait pour être évacué hors du corps. Et donc si un médicament de 10 grammes doit quitter le corps en 4 heures du temps, et que les 4 heures du temps ne sont pas encore passées et que tu ajoutes encore une dose, cette dernière va compléter le nombre de grammes restant. Et si tu ajoutes encore, c’est que ça devient important pour boucher les reins.
L’étude scientifique a montré que les 10 grammes vont sortir en 4 heures du temps. Donc on te dit le matin, le midi et le soir, donc tous les 4 heures. Le matin et le midi ça fait 4 heures du temps, non? Donc quand tu prends ton médicament à 8 heures, à midi là, c’est déjà totalement fini dans le corps, et tu renouvelles comme prescrit.
Quand tu ajoutes, quand tu prends plus que ce que la posologie a conseillé, tu te tues. Tu amasses le médicament dans ton sang et les reins seront impactés. C’est tout ça qui crée des problèmes au filtre.
Je reste avec un langage compréhensible. Je veux que l’homme lambda qui lit cet entretien me comprenne. C’est dire que tu crées des problèmes pour tes reins en prenant trop de médicaments. On parle souvent des tisanes aussi. Les tisanes sont naturelles, elles n’impactent pas les reins, c’est faux. Quand la tisane est dosée à un certain niveau, la tisane peut aussi influencer négativement les reins. On dit souvent que le phyto-médicament ne cause pas de problèmes aux reins, c’est faux. Quand le phyto-médicament a une certaine quantité prise, ça peut influencer aussi les reins.
C’est pourquoi il faut étudier les médicaments. Il faut étudier les données pour pouvoir conseiller aux consommateurs, sinon c’est dangereux. Donc tout ça là, c’est pour dire que les reins sont les filtres, et tout ce qui rentre dans notre corps, dans notre bouche, passe par ces filtres, et peut vous bloquer ces filtres et nous créer des problèmes.
Et souvent c’est irréversible. Est-ce que vous trouvez des reins à acheter? Non, ça coûte très cher.
Quand on va vous faire des greffes pour vous remplacer les reins à l’occident, ça coûte très cher. Et il faut que ça vous corresponde. Il y a des papas qui donnent des reins à leurs enfants. Des enfants qui donnent aux pères, ainsi de suite. Mais ce n’est pas aussi facile que ça. Cela dépend juste de ton comportement alimentaire pour que tes reins fonctionnent très bien.
Il faut que les gens aient l’information que ce qui passe dans notre bouche, passe dans nos reins. Ils peuvent bloquer nos reins et nous tuer. Les reins, c’est la vie. Les reins filtrent mais pourraient rencontrer des limites de causes anthropiques.
Quand vous tuez déjà vos reins, ils ne peuvent plus fonctionner très bien et vous pouvez en mourir. Il faut absolument que les reins soient soignés. Mais comment? Il faut boire de l’eau. L’eau aide à filtrer, aide à évacuer les déchets. Et quand notre vessie est pleine, il faut aller uriner.
Il faut manger mais mangez sain, moins de viande. Ne mangez pas de médicaments. Prenez des médicaments si vous êtes malade et conseillé par un médecin. Quelqu’un qui est référencé.
Il faut consommer modérément de l’alcool. Quand vous prenez beaucoup d’alcool, vous tuez vos reins.
Vous avez déjà abordé la troisième question qui concerne la prévention. Si je comprends bien, il faut boire beaucoup d’eau, limiter la consommation de la boisson, de la viande et autres. Quel est le traitement le plus adéquat à ce mal?
Parlant du traitement des problèmes de reins, surtout de l’insuffisance rénale, il y a plusieurs traitements. Il y a le traitement radical quand tout est bloqué, qu’on appelle dialyse, qui coûte cher.
Dans certains pays, c’est pris en charge par l’État. Et l’État fait ça pour sauver beaucoup de gens. Mais ça devient aussi un prétexte pour les gens de dire notre pays a rendu gratuit la dialyse.
La dialyse, dans un pays ouest-africain coûte environ 80 000 tous les 3 jours. En fait, c’est quoi, la dialyse ? On fait passer votre sang par un tuyau, dans une machine qui travaille à la place des reins, qui filtre le sang et qui vous redonne votre sang.
Beaucoup de sucre dans le sang, ça impacte les reins. Et l’hypertension impacte aussi les reins. Les reins sont en relation avec le cœur. Donc, c’est toute une dynamique de relation entre le cœur et les reins.
Et comme traitement, moi, je ne suis pas néphrologue. Je ne vais pas donner de médicaments ici. Je suis spécialiste du traitement naturel. Je peux produire des conseils.
Tout ce que j’ai dit ici, ce sont des conseils qui vont aider les gens. Mais si déjà la situation commence, moi, pendant mes 30 ans de combat en matière de santé, j’ai réalisé que je peux beaucoup aider les gens. C’est pourquoi j’ai fait un produit qu’on appelle CCV, qui ne guérit pas, mais qui aide à ce que les reins se relancent tout doucement. Mais quand la situation pathologique rénale s’installe, il faut aller voir le néphrologue. J’ai sauvé beaucoup de gens dans ce pays avec mon approche phyto-médicamenteuse. Je ne dis pas que c’est la solution. Consultez le néphrologue. Et si vous voulez essayer l’approche phyto-médicamenteuse, essayez. Mais en faisant le taux de créatinine régulièrement,
Votre mot de fin
Pour la question de l’insuffisance rénale, je dis et je répète que chacun soit responsable de ses reins. Nos reins dépendent de notre bouche. Ce qui passe dans notre bouche, c’est ça qui tue les reins.
Qui veut avoir les reins en bonne santé qu’il se préserve de manger certaines choses Et surtout, la viande, les médicaments. On ne mange pas les médicaments. On prend les médicaments pour un problème. Mais mangez de la viande avec une certaine réserve. Et sachez que ce qui passe dans votre bouche passe dans vos reins.
Propos recueillis par Rochereau AVIDOUTÉ